Lad vs Johnny Round 1
Ce jour là Marc mavait présenté à Johnny, à son accent, je reconnus un canadien (tabernac). A ce que javais compris, ils sétaient rencontrés sur un tapis, et cest là que Marc avait compris son goût pour la lutte. Johnny était brun, un corps massif, une musculature assez dense. Depuis notre dernière rencontre, où Marc avait eu raison de moi, il avait aménagé dans son garage. Des tapis de sol avaient été disposés, on aurait pu y organiser des tournois.
Au vu de la carrure du gars, je me sentais un peu léger, mais, il fallait bien sy rendre, je me devais de faire mes preuves.
Après quelques exercices déchauffement, nous voilà au centre du tapis. La phase dobservation fut assez brève. Johnny, confiant, pris linitiative du premier assaut. Il tendis ses mains vers moi, pour un affrontement de force. Nos doigts senlacèrent, et les muscles de nos poignets commencèrent a se tendre. Il était bien plus fort que moi, et neut aucun mal à me dominer sur ce domaine. Je me retrouvais à genou, à ses pieds. Il prolongea son effort afin de me faire basculer sur le dos, et y parvint sans trop de mal. Jétais assez mal. Mes jambes étaient repliées sous mes fesses, et mes épaules étaient rivées au tapis. Johnny enjamba mon torse, et je saisi loccasion pour dégager mes jambes. Il mavait scotché au tapis comme un enfant. Jétais fait. Les règles sur lesquelles nous nous étions entendu ne comptaient pas les tombés. Seules les soumissions méritaient la victoire. Ouf. Cette fois, je men sortais bien. Johnny était conscient que cette démonstration impressionnante ne lui servait à rien. Il me libéra, se releva, et me dévisagea du regard avec dédain. Laffrontement, le vrai allait enfin commencer, et javais été très impressionné par cet exercice. Il allait me massacrer, cest sûr !
Assez lâchement, je lavoue, plutôt que de me relever, je me précipitais sur ses chevilles, et la surprise eut un petit effet. Déséquilibré, Johnny chancela, et saffaissa de tout son long sur le ventre. Plus rapide que lui, je me saisi de ses chevilles, repliais ses jambes lune sur lautre pour exercer une pression qui lui déchirai le devant des cuisses. Déjà, Johnny avait perçu le danger de la situation. Il frappait le sol de façon désordonnée, se contorsionnait pour tenter de retourner la situation. Il comprenait que cette position lui était fatale. Je jubilais. Marc qui nous observait faisait office darbitre et ne put retenir un cri dapprobation. Le spectacle était bon, David était en train de terrasser Goliath !
Afin de parfaire la finition, je décidai de rendre la situation plus humiliante : Si je parvenais à agripper le menton de Johnny, conserver la prise en 4 dans mon entrejambe, la soumission était indiscutable. Trop vite, mal fait, je lâchais sans méfiance un appui qui fut fatal pour mon plan. Dun coup, Johnny se détendit, et se retrouva face à moi. Lui sur le dos, moi à genou entre ses jambes. Instinctivement, il verrouilla un ciseau autour de ma taille. Sous létreinte puissante de ses jambes, je ne tiendrais pas longtemps cest sûr. Ses jambes étaient comme des câbles dacier, et la douleur était terrible. Mais non, je ne pouvais pas lâcher la victoire sur un simple ciseau. Javais été si près du but que je ne pouvais pas me résoudre à marrêter là. Johnny était trop lourd pour que je puisse me relever et le briser dans une prise du scorpion. Pourtant cétait LA parade à cette situation. Je tentais le tout pour le tout. Et alors que je commençais mon effort, une idée plus cruelle me traversa lesprit. Je redressais un genou dans le dos de Johnny, et lalignais exactement dans laxe de sa colonne vertébrale. Jaccompagnais mon mouvement dune pression sur ses 2 épaules. Ce fut radical. Johnny poussa un petit cri de douleur et cassa la prise. Nous nous retrouvions encore une fois dans la même position : face a face, lui, allongé sur le dos, et moi à genou entre ses jambes. Ayant initié la parade à son ciseau, javais rapidement réfléchi à la manière denchaîner pour ne pas tomber dans le même piège.
Rapidement, toujours à genou, je reposais mes chevilles par dessus les siennes, et verrouillais mes pieds de manière à garder cette pause. En même temps, jexerçais une pression lente et ferme sur ses genoux. Cette position ne me coûtait aucun effort. Je gérais la souffrance de mon adversaire, et javais en plus le privilège de le voir grimacer de souffrance. Son regard implorait la pitié. Il savait que je pouvais le faire hurler de douleur. Je ne me gênais pas pour le lui rappeler par de petits efforts. Cette fois, javais décidé de ne pas le lâcher. Quil abandonne, et sen était terminé de son supplice. Quil résiste, et on verrait jusquoù il résisterait.
Je prenais du plaisir. Je savourais la victoire. Les jambes de Johnny étaient à rude épreuve. Ses muscles étaient tiraillés, sa transpiration trahissait son effort. Il ne pourrait pas résister longtemps à cet écartèlement. Cruellement, je lui donnais de temps en temps un peu de mou, lui interdisant ainsi dabandonner à cause de la douleur. Je voulais quil réalise que sa situation était perdue !
Je navais pas pris en compte son expérience. Dune impulsion abdominale, il se redressa, et sempara de ma tête. Tout alla trop vite pour moi. Trop sûr de ma victoire, je ne mattendais quà labandon, mais cest un assaut que jobtins : La surprise était de taille, et je restais sans réaction. Jen oubliais quil était sous mon contrôle, et lâchais bêtement ses genoux.
Nétant plus en danger, le match chavira rapidement. Johnny avait décidé de me faire voir du tapis. Sans mal, profitant de cette surprise, il se saisit de mon poignet droit, de ma cheville gauche, appliqua ses 2 pieds sur mes reins, et sarc-bouta. Jétais larc, il était la flèche, et il bandait larc de toutes ses forces. Malgré ma souplesse la douleur était insoutenable. La victoire lui appartenait, javais perdu. Une fois de plus je réalisais que mon inattention mavait joué des tours. Je le tenais, et je navais pas été suffisamment ferme pour le pousser à labandon. Maintenant, il était trop tard pour les beaux discours. Javais déjà assisté à de nombreux abandons sur ce cas de figure, et les plus doués des lutteurs navaient pas de parade à cette situation. Alors que jétais sur le point de craquer, Johnny lâcha mon poignet, ma main lui avait glissé des doigts - la transpiration sans doute - Linespéré arriva, Lissue fatale dans laquelle je métais résolu de tomber se refermait. Tout reprenait à zéro. Nous étions de nouveau haletants, debout, face à face. Contrairement au début, cest moi qui pris linitiative de lassaut.
Javais déjà bien travaillé à deux reprises les jambes de Johnny, il fallait que jy revienne. Son point sensible était là. Trop tard, il me ceinturait déjà dans un bearhug puissant. Il métouffait, toutes mes tentatives pour lui faire lâcher prise étaient vaines. Je sentais ses pec gonflés à bloc contre mon torse, Il étais à peine plus grand que moi, il me souleva, je perdis pied, il bascula létreinte, et me jeta au sol comme un sac. Ouhaa ! Quel coup, jétais un peu sonné. Comme moi, il avait un plan dattaque. Mon point sensible, cétait mes reins, il lavait compris. Il me retourna sans mal sur le ventre, et commença à me placer la prise du scorpion. Comprenant les intentions de Johnny, je me débâtis si bien quil ne parvint pas à me bloquer. Nous étions à terre, tête bêche. Je plaçais un ciseau sur sa jambe droite et me saisis de sa jambe gauche lécartant à son extrême. Dans cette fougue, je retenais difficilement mes forces, et je dus porter un peu trop la prise. Lécartèlement fut tellement douloureux que Johnny hurla sans délai : « I give I give ! » (Le garçon était canadien ;-) et dans la douleur ne maîtrisait pas son langage. ) Par son cri, il mavait abandonné la victoire. Ce nétait pas la meilleure action du match, mais cest celle qui mavait donné la victoire.
Je compris rapidement quil exigerait de nouvelles rencontres, cette fois, javais eu beaucoup de chance, Je lui promis une autre rencontre. Je nen avais pas fini de souffrir entre ses pattes.
Lad
Lad vs Johnny Round 2
Parti en voyage, Marc mavait laissé la clé de son atelier de "sculpture" physique, installé dans son garage, comme il le disait en blaguant. Ce matin, je décide daller mentraîner de bonne heure. Il est six heures, je mets la clé dans la serrure, jouvre la porte. Surprise, je ne suis pas seul. Lad est couché sur le bench press et lève une barre à disques. Toujours aussi généreux, Marc a laissé ses clés à plusieurs personnes, dois-je constater.
Lad, ce matin, je men serais bien passé. Il mavait vaincu dans un match de lutte récemment. Ce combat ma laissé un goût amer. Jai avalé de travers cette défaite. Par écartèlement. Lad ma promis une revanche, mais je ne suis pas pressé de relever le défi. Je le salue, et déjà en survêtement dentraînement, je me mets à loeuvre. Je mempare des haltères et commence mes exercices. Je mentraîne comme ça pendant une demi-heure, trois quarts dheure. Lad fait de même dans son coin. Sans mot dire.
Puis, je décide de lever une barre à disques. Je choisis deux disques de 25 livres, je les rive à la barre. Derrière moi, une voix se fait entendre :
- Cest tout
?
- Tout quoi ?
- Cest
tout ce que tu peux lever ?
- Cest
mon premier exercice à la barre à disques, chaque chose en son
temps, jaugmente les charges progressivement, que je me
sens tenu de lui répondre. Il joue avec mes nerfs celui-là. Je
peux lever aussi dautres choses que des disques, que je
rajoute.
- Comme quoi
?
- Des mecs
gonflés, par exemple.
- Ah oui.
Jai pas remarqué lors du dernier combat. Tas pas eu
ta leçon, Johnny ?
- Ok, Lad, saute dans le ring, je te rejoins. Chacun enlève son t-shirt, lempoignade commence.
Je le saisi par le poignet, le tire vers moi, et avec un genou, je le frappe à la cuisse. Lad grimace de douleur, titube, chancelle. Son calvaire commence. Je ramène son poignet derrière son dos, lui place une solide clé, puis avec un croc-en-jambe, je le fais tomber à genou. Une pose de soumission que Lad semble adorer. Je maccroupis à demi, je le tiens ainsi pendant quelques secondes. Puis, en tenant son menton de mes deux mains et que je tire vers larrière, japplique mon genou entre ses omoplates et laisse descendre lentement mon genou le long de sa colonne vertébrale, écrasant quelques vertèbres au passage. Le menton relevé, à plat ventre, respirant mal, Lad en voit de toutes les couleurs. Sa tête tourne au rouge. Je ne ménage pas les efforts pour lui rendre la situation intolérable. Souffrance quand tu nous tiens !, doit se dire Lad.
Puis dun coup sec, jabandonne cette prise. Je massoie à cheval sur son dos (167 livres en passant, Lad, et 5 pieds 11), puis jappuie sur sa tête que jenserre entre mes cuisses. Pendant que celles-ci chauffent ses oreilles, jappuie sur sa tête et Lad broute le tapis. Lad se débat, mais il incapable de renverser la situation et de reprendre linitiative du combat. Pourtant, il sort dune séance dentraînement. Quest-ce qui se passe ?
Un peu tanné de cette absence dopposition, je me relève, le laisse gémir à terre. Jai chaud, tiens, je vais ouvrir une fenêtre, ça empeste la sueur de gym, ici. Mal ventilé, cet atelier de culture physique, faudra que jen glisse un mot à Marc. Tiens, Lad est maintenant debout, se frotte le haut de la cuisse, celle qui a mangé le coup. Il fonce sur moi, je le vois venir et, tel un toréador astucieux, je dévie sa course. Non, sans au passage, lui placer un croc-en-jambe qui lenvoie, encore une fois, cueillir les fleurs du tapis.
Cette fois, il se calme le Lad. Il revient au centre du ring, prends son temps avant dengager le combat, on sobserve lun et lautre. Il vient davoir son compte, et maintenant, il calcule ses coups. Chacun tente quelques prises, chacun les esquive. Le combat sengage dans sa phase centrale, celle qui précède la victoire de lun et la défaite de lautre. Il ny a pas à en sortir, cest lun ou lautre, surtout avec un lutteur tenace comme Lad, qui ne se rend que quand son adversaire réussit à le soumettre totalement.
Lad attaque : il me saisit une jambe, sous les mollets quil pince dune pression ferme. Ce passement de jambes, me déséquilibre : je me retrouve sur une seule jambe, je sautille en reculant pour rester debout tout en devant mappuyer dune main sur lépaule de Lad. Je cherche à magripper à lui pour conserver ma position debout, Lad, pas bête, sen aperçoit et recule. Il lève toujours ma jambe gauche quil tord un peu et place, sans que je men rende compte trop occupé à sautiller, une jambe derrière ma jambe droite. Une fois placée sa jambe, il na pas de mal à me faire basculer. Je me retrouve le dos au sol, la jambe gauche maintenant chevillé par une solide clé. Lad vient de mavoir.
Maintenant, je dois agir vite, sinon je vais passer un mauvais quart dheure. Dune main, je tente de saisir Lad à la ceinture pour le faire tomber. Lad me précède et me tombe sur le ventre. Sous limpact du choc, le souffle coupé, en réflexe, mes épaules se soulèvent. Je vois des étoiles. Après les événements se précipitent.
Tenant toujours ma jambe gauche dans les airs, dassis sur mon ventre, Lad se laisse glisser sur le dos, en prenant soin denserrer solidement ma jambe gauche à la cuisse en repliant son bras, puis avec son autre bras, il me passe une clé au bras gauche. Je sens la soupe chaude. Puis, il ramène vers lui jambe et bras. Puis en se relevant lentement, il parvient à me renverser, ma carcasse se retrouvant maintenant sur ses jambes, lui assis, moi reposant sur un seul côté, jambe et bras harnachés. Dun bond, il se relève sur ses genoux, me tourne sur le ventre, place son genou dans le bas de mon dos, tout en ramenant vers lui bras et jambes gauche. Passons sur la douleur ressentie. Je ne peux rien faire que me tordre, et encore.
Maintenant, je nai plus aucune prise pour men sortir et mon manuel de lutte nest pas à côté de moi pour que je le consulte afin de trouver LA parade. Pour le moment, je suis pris à endurer mon mal. Même réfléchir me fait mal. Alors jattends. Lad maintient la pose. Puis, il lâche la prise au profit dun double nelson. Il se lève, forcément je le suis et se dirige vers le bench press. Devant le banc, il passe une jambe entre les miennes me force à en soulever une par-dessus le banc, puis, je me retrouve à plat ventre sur le banc. Assis sur mes reins, Lad abandonne le double nelson en se saisissant rapidement de mes poignets. Il ramène mes bras vers lui, les collent lun contre lautre et les replient sur les omoplates. Manoeuvre quil répète à plusieurs reprises. Lad triomphe, je le sens à sa respiration et au soin quil apporte à exécuter le mouvement. Je ne peux quencaisser, alors jencaisse. Puis, je me rappelle que jai aussi des jambes, elles sont ballantes de chaque côté du banc, mais elles sont libres.
Je les ramène à la taille, Lad sen rend compte et pare le coup en tentant dentrecroiser ses jambes aux miennes. Pendant ce moment, il desserre la prise sur mes bras. Cest le temps ou jamais de profiter de ce relâchement. Je réussis à ramener mes jambes à la taille et à relever le haut de mon corps. De mes reins, Lad tombe sur son cul. Rapide, je me retourne, passe une jambe entre nous deux. Nous sommes maintenant assis face à face sur le banc à nous regarder dans le blanc des yeux. Pas pour longtemps, mon Lad, pas pour longtemps. Rapidement, je saisis les jambes de Lad aux genoux, jinstalle ses mollets sur mes épaules. Lad se retrouve sur le dos, les jambes sur mes épaules. Je le saisis aux genoux et je ramène ses cuisses sur son torse. Ses abs prennent leur trou, ses pecs gonflés se battent avec ses cuisses musclées. A sa leçon de soumission de tout à lheure, joppose à Lad une leçon de domination. Lad, à en juger par les rictus qui traversent son faciès, constate la différence entre domination et soumission. Sa fête commence.
Énergisé par cette reprise en main du combat, je me rapproche de Lad en ouvrant ses jambes. Tinquiète pas Lad, la prise de lécartèlement, je te la laisse. Arrivé à la taille, je passe mes mains, mes bras croisés sous ses reins et le bas de son dos. Puis assuré que je le tiens solidement, je le tourne perpendiculairement sur la planche. Seule une partie de son dos repose sur létroite planche. Puis, je le soulève du banc et le fait tournoyer, trois à quatre fois, je ne sais plus, je suis emballé, au-dessus du ring. Puis, je le laisse retomber et planer dans lair. Sans parachute pour retarder la descente, Lad crashe au sol, nez et menton graffignant, une fois de plus, le tapis.
Va-t-il se relever ? Et oui. Il na pas encore son compte. Insulté, il me saute à la gorge, tentant un croc-en-jambe. Je le prends de vitesse, à revers et lui applique une ceinture à la taille. Sans attendre, je glisse un bras dans lentrejambe, lautre jenserre son cou en repliant mon bras au coude tout en me repliant légèrement. Puis son dos, appuyé sur mes larges épaules, je soulève un Lad qui, manifestement, bat de laile, depuis un petit moment. Je me rappelle sa question : « Cest tout ce que tu lèves ? » Ou quelque chose comme ça et je ne peux résister à lui rendre la monnaie de sa pièce. Je place une main sous ses fesses, lautre dans le bas de son dos, et en respirant profondément, je LÈVE LAD à bout de bras. Tabernacle que ça fait du bien. Je le tiens en lair quelques secondes, le temps de lui faire apprécier sa défaite. Puis, je le laisse retomber.
Je me rappelle aussi quune des règles de ces combats est de vaincre ladversaire par soumission, non par tombée. Dune main, je saisis Lad par la ceinture, les jambes en lair, la tête en bas, moi le serrant à la taille. Je remarque une chaise romaine dans latelier, un appareil de culture physique qui permet dexécuter des redressements assis en ayant les jambes accrochées à la chaise. Je lui rive les jambes à lappareil, mais curieusement Lad semble incapable dexécuter le mouvement. Je décide donc de lui donner un coup de main en collant mon dos contre le sien et en poussant de toutes mes forces sur le dos de Lad. Il parvient à effectuer un couple de redressements assis. Qui me parlait dentraînement, récemment ?
Une voix faible se fait entendre : «Ca va Johnny, jai compris, tu mas eu ». Défait, Lad glisse au sol, la tête entre les jambes. Au propre comme au figuré.
Johnny (Hé ! Hé !)
Publié le 22 septembre 2002