Je venais de passer ma journée à auditionner des candidates pour un poste de secrétaire assistante auprès de moi. Jen avais marre ; il faisait chaud, les candidates étaient toutes plus nulles les unes que les autres et il me tardait vivement que laprès-midi soit achevée, me faisant déjà à lidée quil me faudrait sûrement une autre journée pour tenter de trouver la perle rare.
Il me restait à auditionner une candidate. Je passais la tête par lentrebaillement de la porte afin de lappeler mais la salle dattente était vide ou plutôt, il ny avait quune personne, un mec en costume gris clair et cravate.
- Pardon, lui dis-je, une dame nattendait elle pas dans cette salle ?
Il me répondit par la négative et jallais refermer la porte de mon bureau lorsquil me dit quil attendait lui-même pour le poste. Etonné, je pensais quil sétait trompé et je lui précisai que jétais là pour recruter ma future secrétaire-assistante. Il me confirma quil était bien secrétaire
Surpris et, pour tout dire, assez désarçonné par cette réponse, je neus pas le temps de dire un mot quil sétait déjà levé, révélant une stature impressionnante de lordre de 1,90m, les épaulettes de son costume renforçant limpression de puissance.
Il pénétra dans la pièce et sassit, de lautre côté de mon bureau. Pas de doute, javais affaire à un gros gabarit. Je devinais un corps dathlète peut-être un rugbyman sous la toile légère de son costume dété et javoue que je nétais pas mécontent de cette surprise de fin daprès-midi qui me permettait de discuter avec un mec costaud, moi le gringalet (1,70 65 kg) qui avait toujours été fasciné par les gars baraqués.
Après 5mn de conversation, gêné par la chaleur, jenlevai ma veste. Il me demanda sil pouvait en faire de même. Avec les gestes lents, appuyés et assurés dun « gros », il retira sa veste. Jen eus le souffle coupé ; au travers de sa chemisette à manches courtes, deux bras, énormes, gorgés de muscles et globuleux à souhait apparurent. Mon rugbyman était, en fait, un bodybuilder.
Sur un petit nuage, je continuai la conversation, complètement subjugué par ces deux véritables massues que je voyais se mouvoir devant moi. Je me levais et passais de lautre côté du bureau afin de masseoir sur le rebord et me trouver plus près de « mon » culto. Au bout dun moment, il saperçut de mon trouble. Il me sourit, dun grand sourire franc et joyeux, et se mit à contracter, à plusieurs reprises, ses pecs entraînant une ondulation musclée sous le tissu de sa chemisette.
Emoustillé, je me levai pour me rapprocher de lui ; il se leva à son tour. Je sentais sa présence puissante et musclé auprès de moi. Je portais la main sur sa joue ; le contact de sa peau, avec une barbe de fin daprès-midi, la caresse sur ses mâchoires carrées et anguleuses me fit frissonner. Javais affaire à un mâle, un vrai
Lentement, ma main défit son neud de cravate ; je déboutonnai le 1er bouton de sa chemisette, celui du col, puis le second, puis le troisième. La ligne en creux des pecs apparut, un de mes doigts suivit cette ligne, qui était bordé par du muscle dur et vigoureux, à la naissance des deux pecs. Je glissais ma main sur un des pecs pour le masser ; jétais au comble de lexcitation.
Cest alors quil me repoussa et arracha, dun geste sec et violent, les derniers boutons de sa chemise. Deux pecs énormes, carrés, volumineux apparurent que je mempressais dembrasser frénétiquement.
« Comme tu dois être fort », lui murmurai-je Il ouvrit alors ses bras gigantesques qui entourèrent mon corps dablette; je goûtais ardemment le contact de cette masse de muscles contre mon corps chétif, ses pecs puissants contre mon torse malingre. Tout en menserrant de plus en plus, il me souriait, visiblement satisfait lui aussi de sentir sa force et sa toute puissance sexercer sur moi, pas mécontent non plus de mapporter du plaisir.
Sa pression se faisait de plus en plus vigoureuse ; je faisais des tentatives faussement désespérées (car avais je vraiment envie de ne plus sentir la pression de ce corps bodybuildé contre ma peau ?) pour me libérer. Jappuyai mes mains sur le haut de ses pecs (que la sensation de sentir ses muscles fermes et épais était jouissive !) et je tentais de projeter mon corps en arrière par un effet de balancier mais je sentais aussitôt ces bras puissants, tels des pythons, me maintenir fermement et me rappeler que jétais sous sa domination.
Cet « étouffement » dura plus dun quart dheure avant que le culto ne relâche alors son amicale pression. (...) Bien sûr, je lai engagé
Publié le 22 septembre 2002.