Mon père était muté dans une autre région et je navais nulle envie de déménager. Mes parents décidèrent donc de ne pas vendre la maison ainsi je continuais à lhabiter seul ! Pour arrondir mes fins de mois, en accord avec mes parents, je louais les pièces de libres à un autre étudiant. La cuisine était en commun tout comme la salle de bain mais avec un peu dorganisation cela se passait sans problème. Mon colocataire actuel sappelle Thomas. Cest un type sympa, pas mal foutu aussi bien de gueule que de corps, et qui a lhabitude de sexhiber à poil à travers la maison
Il était plus de minuit, je tournais et me retournais dans mon lit, javais du mal à dormir. Je décida daller me chercher un truc à boire ou à grignoter dans la cuisine. En caleçon, torse nu, jétais plongé dans le réfrigérateur, lorsque Thomas débarqua comme à son habitude, nu, dans la cuisine.
« - Tu as un petit creux ?
- Ouais et je narrive pas à mendormir
Et là, Thomas me baisse le caleçon
- Oh çà va pas ? ? ?
- Si tu veux que ta petite bête devienne un jour plus grande, tu devrais la laisser à lair ! ! !
Je pris alors un euf frais et le lança sur le torse de mon colocataire. Luf éclaté coulait le long de son corps.
- Si tu ne veux pas faire mourir ta bête ramène-la se coucher ! »
Je ramassa mon caleçon et lui jeta pour quil sessuie avec. Je me dirigea vers lévier pour prendre léponge Thomas ouvrit avec un sourire le placard à sa droite et sorti le paquet de farine juste entamé Je saisis son poignet droit, pour éviter quil le déverse partout, il me repoussa de son autre main. La farine coula peu à peu sur nos deux corps nus. Une fois le paquet vide, il chercha un nouvel ingrédient pour continuer le jeu. Pendant ces secondes de réflexions je coinça sa tête sous mon bras et je pris la bouteille de yop que javais au préalablement sorti pour lui faire un petit shampoing au lait fraise. Je lâcha prise, Tom passa sa main dans ses cheveux et se lécha les doigts « hum ! ! ! bon goût et si on allait finir ce combat de yop dans la chambre de ta soeur »
Lendroit était idéal, un carré de 4 mètres de côté, sans obstacle, totalement vide avec de la moquette épaisse au sol. Notre trophée, la bouteille de lait fraise fut déposée au milieu de la pièce. En garde comme deux boxeurs, nos s*x*s pendant, on se donnait quelques claques sur les épaules pour se stimuler. A chaque coup un petit nuage de farine sélevait. Puis on échangea des coups de poing dans les abdos pour montrer notre résistance. Les coups ne faisaient pas mal mais ils étaient tout de même appuyés. Puis on décida comme un même réflexe de changer de jeu et dengager le corps à corps. On sagrippa au niveau de la nuque, puis des jambes pour essayer de se déséquilibrer. Thomas réussit à me porter dans ses bras et se dirigea vers un mur pour ainsi mécraser et me laisser retomber au sol de tout mon poids.
Il avait envie de se battre et surtout de me battre. Je me relève un peu secoué par ce coup de mur. Thomas souriait et je fonça sur lui la tête en avant tel un bélier. Il se plia au-dessus de moi pour me bloquer. Je poussais comme en mêlée de rugby Je réussis à le faire reculer contre le mur puis à lécraser un peu. On se sépara et on sagrippa aussitôt. On était vif lun et lautre et on aimait le contact. On tourna sur nous même quelques instants, dun coup de pied la bouteille partit plus loin, puis on tomba. Tom a sa tête proche de mon nombril, je le ceinture assez fortement le temps que je reprenne mon souffle. Il essaie de me faire basculer sur le côté. Je résista quelques instants, puis un cri de force accompagne la réussite de sa manuvre. Je lâcha prise et je me retrouvais dos au sol, lui à moitié couché sur moi, il me maintenait les épaules et secoua plusieurs fois mon s*x* pour provoquer une *r*ction. Je le repoussa violemment pour quon puisse à genou reprenne le combat. On sagrippa à nouveau et nos forces opposées nous firent lever. Je réussis à me placer derrière lui et à passer dabord ma main sur son s*x* puis entre ses jambes, à le soulever et à lenvoyer au sol. Je me jeta sur lui pour ainsi faire claquer nos corps de sueur. Ma tête passa trop prés de son bras gauche quil réussit à me bloquer sous son épaule. Mais mes mains étaient encore libres...
Jessaya par mes appuis et des cris de rage de me dégager de cette prise mais sans réussite. Je commença alors par donner quelques coups de poing sur le flan et les abdos il ne me lâchait pas. Je saisis alors sa v*rg*. La chose ne devait pas lui déplaire, jarrivais alors à le perturber puisquil relâcha sa pression et je pus alors me dégager. Il se mit sur le ventre peut-être pour ne pas me montrer son *r*ction mais je ne voulais pas en rester là. Je respira profondément avant de lui grimper dessus et je le pris en double Nelson et je bascula pour le forcer à se retourner. On commençait à faiblir. Jétais sur le dos, lui sur moi, je le maintenais toujours par ma prise fétiche et je pus voir son anatomie bien dure. Il narrêtait pas de bouger pour se dégager cela mapporta un plaisir. Il me donna plusieurs coups de fesses pour que je le lâche. A mon tour l*r*ction arriva. Je le libera. On se fit à nouveau face, à genoux, nos s*x*s pointaient lun vers lautre mais le combat nétait pas encore fini Il y avait cette bouteille de Yop à conquérir
La suite à vous de vous limaginer de choisir votre vainqueur de choisir celui qui sera arrosé par ce yop encore bien frais ..
Pour un premier contact, cela navait pas lair de leur déplaire la prochaine fois ils trouveront un autre motif pour venir se battre dans cette pièce et je pense quils vont même se mettre daccord pour organiser un combat le corps enduit dhuile
Ylan
Publié le 1er août 2002.