A l'armée (Auteur: Quadsportx@aol.com)

Quand j'étais à l'armée, compte tenu de mes qualités sportives, j'ai été remarqué par l'adjudant des sports qui m'a pris dans son équipe de moniteurs; en fait, il y avait un autre gars et moi. Après les cours de la journée on restait souvent le soir , à discuter autour d'une bière. Parfois on s'entrainait pour nous; tout se passait simplement et dans la bonne humeur; on faisait un peu de muscu ou on luttait, en short et torse nu.

Un soir, l'adjudant nous a fait lutter, l'autre mono et moi. Il nous corrigeait au fur et à mesure, nous indiquant quelle prise choisir, quelle tactique adopter. Mon collègue était un gars vraiment baraqué; dès qu'il avait un moment de libre il le passait sur le banc de developpé couché; son torse était impresionnant : large, puissant, recouvert d'une épaisse et virile toison brune, des triceps énormes, des biceps à l'avenant...J'étais d'un gabarit inférieur, mais peut être plus vif.

A la fin d'un combat, alors qu'on reprenait notre souffle, l'adjudant dit :"Bon, maintenant on ne rit plus, on fait un véritable assaut; Vous allez commencer par me virer tout ce que vous portez ! Et attention, le vaincu sera à ma botte, il devra se plier à ce que je lui demanderai "
On avait tous les trois tellement l'habitude de se doucher en même temps et de discuter nus dans le vestiaire que la demande du juteux ne nous surprit pas tellement; Il aimait raconter des histoires assez salaces et on était habitués à ses railleries toujours orientées s*x.

On se retrouva donc face à face avec mon collègue, nus, en garde, à tourner sur le tapis. Il s'engagea le premier et après une lutte debout très disputée, il me mit au sol. Le combat continua sous les encouragements du juteux. Je faillis me faire prendre sur une clé de bras mais je réagis juste à temps. Je portai une prise que je pensai être décisive mais mon collègue ponta immédiatement. je ne sais pas si cette position, cambré, offert qui excita l'adjudant, mais il vint tout près de nous et passa sa main sur les pecs et les abdos du moniteur en disant :"Putain que c'est beau çà ! Allez Eric, dégage toi, tourne sur ta droite."Eric arriva à se dégager mais je fus plus rapide que lui et je lui portai une immobilisation à laquelle il résista le plus longtemps possible mais il finit par abandonner. Je me levai, heureux, puis je lui tendis la main pour l'aider à se relever. On tomba dans les bras l'un de l'autre pour se féliciter. J'avoue que le contact de mes pecs bien lisses sur sa toison pectorale m'émoustilla un peu.

L'adjudant vint se joindre à nous; il mit ses mains sur nos épaules; Eric et moi ne fimes attention à ses mains qui glissaient le long de notre dos jusqu'à passer carrément sur nos fessiers. On commençait à avoir l'habitude de ses gestes d'encouragement disait le juteux.

Il prit la parole pour nous dire qu'on allait passerau gage. Il demanda à Eric de se mettre à quatre pattes au milieu du tapis; puis il me dema nda de me mettre à genoux derrière mon collègue, et de le tenir par les hanches. Placé comme j'étais, j'avais une vue impresionnante du dos d'Eric; un dos puissant, qui s'évasait en partant de la taille jusqu'aux épaules; même s'il ne faisait aucun mouvement, les muscles du dos roulaient sous sa peau. Mes mains sentaient la chaleur de ses hanches, et je pouvais admirer aussi ses deux fesiers rebondis et fermes, surplombant des cuisses magnifiquement musclées, presque trop à mon goût.

L'adjudant me demanda de me coucher sur le dos d'Eric; je le fis volontiers; puis le juteux me demanda de passer les mains sous le torse de mon partenaire et de lui masser les pectoraux. Là je commençais à m'émouvoir : mes abdos et mes pecs sur le dos d'Eric, le menton sur sa nuque, mes mains pétrissaient ses pectoraux velus. l'impression de volume des pectoraux était d'autant plus forte qu'ils étaient relachés. Dans mes mains, outre leur chaleur et la douceur des poils qui les recouvraient, je pouvais sentir leur poids. De son côté, Eric ne semblait pas vouloir se dérober à ce gage; il disait :" putain mais c'est bon ! Continue mec !" De temps en temps il ne se tenait que sur une main. Je suppose qu'avec l'autre il se caressait le s*x car je sentais l'intérieur de son énorme bras contre mon bras.

L'adjudant coupa au charme en me demandant de me remettre à genoux debout. Je m'éxécutai, restant un peu cassé en deux pour éssayer de dissimuler une érection presque complète. Mais allez donc essayer de cacher une pareille réponse physique à un gars qui vous a mis exprès dans cette situation. Le juteux me félicita . Il vint près de moi et je m'aperçus à ce moment là qu'il avait oté son survêtement. Il était nu à mes côtés. Lui n'essayait pas de cacher son excitation : il l'arborait ! il approcha d'Eric et de moi, sa main paume vers le ciel. Il avait du gel dans le creux de sa main. Il en badigeonna la raie des f*sses d'Eric, puis mon sexe, par un mouvement tournat qui finit de me faire durcir le gourdin. "Vas-y  , pénètre le me demanda-t-il" Prêt comme je l'étais je ne me fis pas prier. Je m'enfonçais doucement mais irrésistiblement dans le corps puissant de mon copain. je glissai délicieusement en lui tandis qu'il gémissait très doucement. Limer un mâle pareil me donnait un incroyable sentiment de puissance. Donner du plaisir à cette bête de muscles me donnait une pêche d'enfer dont il était le premier bénéficiaire. Mes coups de rein redoublaient quand l'adjudant, qui en voulait toujours plus et m'encourageait de la voix, alla donner son sexe à brouterà Eric. Je limai très longtemps, jusqu'à ce que je sois à la limite de l'explosion. Au bon moment, je sortis précipitemment de mon délicieux logement, je retournai eric sur le dos et l'inondai de plusieurs jets de sp*rme que l'adjudant étala avec sa main, s'amusant a voir les poils bruns collès par mon foutre. Eric finit de se masturber et jouit en même temps que l'adjudant dans des cris de bête. On se laissa tomber les uns sur les autres, épuisés mais heureux, suant mais rassasiés.
C'était une des meilleures soirées passées au gymnase de la caserne, mais il y en a eu d'autres...


Salut les mecs. Si vous avez aimé, ou détesté, dites le moi dans un mail, on pourra en discuter


Publié le 18 mai 2002.

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