BAGARRE CHAMPETRE (Auteur: KRIS)

Cela faisait longtemps que je fantasmais sur l’opportunité d’un combat avec un gars de ma carrure, combat viril mais sensuel, voire s**el. Ma catégorie préférée étant bien entendu le cock-fighting. Je surfais pas mal sur internet à la recherche de sites avec photos de combats d’homme à homme, et me délectais avec les quelques trop rares photos en accès libre.

Je parcourais également les sites où d’autres mecs annonçent leurs préférences et recherchent des gars pour lutter pour le plaisir. Un jour, ayant trouvé une annonce correspondant à mes fantasmes, c’est à dire un garçon ayant les mêmes caractéristiques physiques que moi et les mêmes goûts en matière de combat, je me décidais à lui envoyer une réponse et exprimais le désir de me battre avec lui. Quelle ne fut pas ma surprise quand, dès le lendemain, je recevais un e-mail de ce type ayant grande envie de m’affronter. On ne se connaissais pas car aucune photo n’avais été publiée, mais je me dis : « Si je ne saisis pas cette chance je risque de fantasmer encore longtemps derrière mon écran sans jamais connaître les joies réelles d’une bagarre pour le plaisir. »

Je répondis donc à son invitation, qui me fixais un rendez-vous pour une rencontre musclée. N’ayant ni l’un ni l’autre d’espace pour se recevoir et se battre, nous avons fixé cette rencontre sur un parking en bordure de forêt.

Au jour et à l’heure dite, je me rendais au rendez-vous. Il était là, à l’heure. Mon cœeur battait fort car j’allais enfin connaître ce gars qui était prêt a m’affronter dans un combat au corps à corps. Il était jeune, 22 ans, alors que j’en avais moi même 34, mais nous avions bien la même carrure 1,84m pour 78 Kg, sans trop de muscles (nous ne sommes pas des culturistes). En revanche, ce qui me procura du plaisir avant même que nous ne nous soyons rencontrés, c’est sa petite gueule de top modèle que je rêvais de voir grimacer sous l’effort et la douleur.

Nous avons alors fait plus ample connaissance pendant que nous nous enfoncions dans la forêt. C’était la fin de l’été, et les feuilles avaient commencé à tomber. Le terrain était un peu boueux car il avait pas mal plut les jours précédents. Arrivés à un endroit un peu dégagé, nous avons décidé que ce serait là notre champ de bataille.

Nous avons alors ôté nos tee-shirts et, torses nus, nous avons pu découvrir nos vrais carrures. Nous avons décidé de commencer le combat en Jeans (moulant pour l’un et l’autre) et tennis, mais avec la ferme intention de se désapper mutuellement pendant l’affrontement. Les règles furent simples : tous les coups sont permis sauf au visage et aux parties, aucune prise pouvant entraîner des séquelles corporelles graves n’est autorisée, le perdant est le premier qui éj*c*le. Nous nous sommes alors mis en garde face à face, nous observant quelques instants droit dans les yeux. J’étais à la fois ému face à ce jeune garçon prêt à m’en faire voir de toutes les couleurs, et excité à l’idée que nous allions nous retrouver corps à corps pour le meilleur et pour le pire. Après avoir répondu « prêt » l’un et l’autre, nous nous sommes jetés dans la mêlée, nous agrippant les bras et le torse, chacun essayant de mettre son adversaire a terre.

Je fut  le premier à le projeter avec la hanche. Il tomba lourdement au sol, mais le tapis de feuilles mortes était le bienvenu. Je pensais alors « ça y est mon pote, après des années de fantasmes, je suis vraiment en train de me battre pour de bon ». Pendant ce moment de relâchement, mon adversaire en avait profité pour se relever et je n’ai pas vu son coup de pied m’arriver dans l’estomac. J’en ai eu le souffle coupé et me suis plié en deux, mais n’ai pas ressenti de véritable douleur. Etant plié, il m’attrapa alors la tête sous son bras et, d’un croc en jambe, me projetta au sol.

Dans la seconde qui suit, je me jettais sur ses jambes et le déséquilibrais. Il vint s’affaler lourdement à côté de moi. Me redressant sur les genoux, je lui sautais dessus à plat ventre. Nous nous sommes enlaçés et avons roulé au sol, chacun cherchant à prendre le dessus. C’est lui qui prit l’avantage et, me plaquant sur le dos, il m’immobilisa avec son genoux sur mon estomac pendant que ses mains m’appuyaient sur la poitrine. Mes bras étant libre, je lui assènais alors des coups de poings dans les côtes. Puis, me repliant sur moi même, je lui attrapais les hanches avec mes jambes. Dans un mouvement de reins, je retournais la situation et le fit rouler sur le côté. Nous nous sommes alors lâchés et nous sommes relevés vivement chacun d’un côté.

Nous voilà donc à nouveau debout face à face. Je ne sais pas ce qu’il pense mais je me rends compte que son pantalon avait gonflé au niveau de la braguette. Pas de doute, il était entré en ér*c*ion. Cela nous mis à égalité, car voilà déjà quelques secondes que mon z*b avait également durci. Il faut dire que cela était excitant de lutter au corps à corps avec un autre gars.

Après un échange de quelques coups de poings mutuels dans les pectoraux, nous nous sommes jetés une nouvelle fois l’un contre l’autre, et nos deux poitrines virent s’entrechoquer, collées par la sueur qui commencait a ruisseler de nos corps. .Nous nous sommes de nouveau ceinturé et nous sommes étreints de plus en plus fort pour provoquer la douleur chez l’adversaire, puis, s’accrochant mutuellement les jambes, nous nous sommes déséquilibrés et sommes tombés violemment à terre sans toutefois nous lâcher. C’est là que je suis tombé sur le coude, la douleur provoquant une décharge électrique dans tout mon bras. Mais cela ne me fit pas lâcher la prise, après tout, j’était venu en sachant que j’allais souffrir un minimum, et c’est aussi cela qui m’excitais car j’étais persuadé qu’il allait souffrir autant que moi.

Nous avons une nouvelle fois roulé l’un sur l’autre, et, nous tenant par les bras, nous essayions chacun de nous dégager par des rotations de hanches, frottant nos bassins l’un contre l’autre. C’est à ce moment que je sentis vraiment son dard au travers de son jeans se frotter contre mon pubis. Cela dura quelque temps et m’excitais. Ma t**b était de plus en plus dure. Nos torses se frottaient hardiment l’un contre l’autre, lubrifiés pas la sueur. Nous sentions la transpiration, le mâle. Nos seins étaient gonflés a force de s’irriter par nos vaillantes étreintes.  Etant déconcentré, par ce spectacle sensuel, il en profita pour se dégager et prendre l’avantage. Me bloquant alors a la gorge avec son avant bras droit, je sentis sa main gauche m’agripper fermement les c***lles et mes les presser à travers mon jeans. Je poussais un cri de douleur.

Heureusement il ne tint pas longtemps cette prise et, me bloquant maintenant par derrière, il commença à déboutonner mon  pantalon et me baisser la braguette. Ne portant jamais de slip sous mes jeans, les poils de mon pubis jaillirent alors au grand air. Il s’aida alors de ses pieds pour me baisser mon froc au milieu des cuisses. J’avais maintenant la b** à l’air, dressée comme un pieu, le ** largement décal**.

Devant ce spectacle, il relâcha sa prise, et, me dégageant promptement, je le plaquais à mon tour dans une position me permettant de lui faire subir le même sort. A mon avis, il l’avait un peu fait exprès pour que nous soyons vestimentairement à égalité. Je m’appliquais donc maintenant a lui arracher son jean, et, quelle ne fut pas ma surprise en m’apercevant qu’il ne portait pas non plus de slip. Nous étions donc désormais tous les deux la b*t* a disposition de l’adversaire. A ce moment, dans un coup de reins, il se retourna et me plaqua sur le dos. Il se jetta encore une fois sur moi, torse contre torse, pubis contre pubis. Nous nous sommes alors frotté ainsi l’un contre l’autre, moi pour me dégager, lui pour me maintenir plaqué au sol. Nos b**** s’accrochaient l’une dans l’autre comme dans un combat d’escrime , alors que ses c***ll*s s’écrasaient contre les miennes. Nos s*x*s comme deux matraques, se massacraient l'un l'autre, s’écrasant l'un contre l'autre, s'escrimant violamment en s’accrochant intensément. Nous avons alors échangé une série de coups de poings dans les flancs. Je b*nd**is un maximum pendant ce paradoxe de douleurs au torse et de bien être au bas ventre. Je sentais la « sève » me monter. Il fallait que je retienne mon sp**** si je ne voulais pas éja*** le premier et perdre ainsi le combat. Je serrais donc les fesses pour comprimer mes muscles. Il fallait que je fasse quelque chose car je n’allais pas tenir longtemps, et je ne voulais pas être le premier à cr*ch*r ma s*m*nc*.

Mais c’était difficile, nos b*t*s roulaient l’une contre l’autre et nos poils de pubis s’emmêlaient. Puis, dans un mouvement brusque, il se dégaga, se retourna et m’attrapa par derrière. Il m’enserra le cou de son bras et tira pour me courber en arrière afin que je ne puisse pas attraper de prise. Son autre main se rua sur mon z*b, qu’il me pressa fortement, avant de s’en prendre à mes b*rn*s qu’il m’écrasa de sa puissante main. Une douleur intense m’envahis alors le bas ventre et je ne put m’empêcher de crier de douleur. Cherchant toujours à l’empoigner, j’arrivais a lui saisir les cheveux. Plus il m‘écrasait les c*ll*s, plus je tirais sa tignasse et je sentis qu’il commencait a souffrir également. C’est alors qu’il désserra un peu sa prise et que je parvins à me dégager. D’un coup de hanche, je pivotais légèrement et réussis à lui saisir également la b*t*. Nous voilà donc maintenant à nous tenir par le cou avec un bras et à nous maltraiter le dard avec l’autre main.

On se tirait la bite mutuellement vers le bas, on se la tordait vers la gauche, vers la droite, la douleur était intense.

Tout à coup, dans un violent effort, je déséquilibrais mon adversaire et le fit rouler de côté. Me relevant légèrement je lui enserrais le torse et nous avons alors commencé à rouler l’un sur l’autre pendant un mètre ou deux. C’est alors que nous arrivâmes dans un flaque de boue bien grasse. Je retournais mon adversaire et lui plaquait la gueule dans la boue, puis, le poussant suffisamment, je lui trempais maintenant la b*t* et les c***lles dans la mare de boue. Il me surpris en ramassant une poignée de boue qu’il m’écrasa en pleine gueule, m’aveuglant pendant quelques secondes. Celles-ci lui suffirent pour me plaquer à son tour dans cette mare boueuse.

Allongés tous les deux a terre, nous nous empoignions simultanément le z*b et commençions de frénétiques mouvements de va et vient pour faire cracher son f*tr* à l’adversaire. Avec l’autre main, nous nous agrippions la gorge pour concrétiser un plaquage mutuel. Nos jambes s’entrechoquaient mais n’étaient pas libres de leurs mouvements a cause des frocs qui s’étaient agglutinés en dessous des genoux.

Nous nous redressâmes serrant toujours la gorge de l’adversaire et nous m*st* mutuellement. Une fois agenouillés, nous avons échangés encore quelques coups de poing dans le ventre et en pleine poitrine. Puis, nous nous sommes agrippés le torse, mon adversaire me renversant une fois de plus, me grimpa dessus et nos s*x*s entrèrent à nouveau en contact, se frottant l’un sur l’autre. Cette fois c’en était trop.

C’était trop intense, je ne pouvais plus retenir mon sp*** et, dans la seconde qui suivit, je g*cl** mon jus entre nos deux pubis. Je jou*s un maximum entre hurlant de plaisir, tout en sachant que je venais de perdre le combat. Pendant quelques secondes encore, sa b*t* se frottait sur la mienne, me faisant sortir jusqu'à la dernière g*tte de sp***.

Mon adversaire se redressa alors brutalement et s’écria « Il était temps car il ne manquait pas grand chose pour que je g* le premier ». En effet, a peine eut-il prononcé ces mots qu’il se mit a éj** violement à son tour. Il était à genoux à califourchon sur mon bassin et deux grandes g* de f*tre virent s’étaler sur mon torse. Il attrapa alors son dard et se mast** quelques secondes pour évacuer la totalité de sa semence. D’autres g** plus légères se  répandirent sur mon pubis.

Nous étions épuisés par ce combat titanesque, souillés de boue et de sp***, mais heureux d’avoir pu j*ir dans de telles conditions qui pour moi était une grande première. J’ai aimé intensément cette succession de douleurs et de plaisir s*x*ls, et ne regrettais pas d’être venu me battre contre un adversaire aussi vaillant. Nous nous essuyâmes avec des feuilles, nous sommes rhabillés et sommes retournés à nos voitures tout en nous félicitant mutuellement pour la combativité dont nous avions fait preuve.

C’est alors que le mec me dit « Je suppose que tu voudrais une revanche ? Un autre combat te tente t-il prochainement ? J’ai bien aimé me battre avec toi, je n’avais jamais connu une bagarre aussi mémorable auparavant. » Je lui répondis que je j’étais partant pour un nouvel affrontement et que nous prendrions rendez-vous sur internet pour une prochaine rencontre dont le lieu et le thème vestimentaire seraient a déterminer.

Kris


Publié le 3 juillet 2001.

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