MON VOISIN ET MOI (Auteur: JACQUES)

J'habite dans un appartement et depuis quelque temps, l'appart de gauche est libre.  Soudain, j'apprends qu'un nouveau locataire va emmenager. En effet, quelque jours, il s'installe.  C'est un homme seul, d'une trentaine d'années, d'apparence musclé mais pas de trop. J'essaie de l'accueillir mais il fit preuve de méfiance et devint même désagréable avec moi.

Le ton monta, il me poussa sur le palier je commencai l'empoigner mais ma femme est venue nous séparer.  Dans la bousculade j'ai ressenti ses pecs contre les miens.  Nous avons a peu près la même carrure, nos torses arrivent à la même hauteur.  Nous étions en jean et sweet, je n'ai pas donc pu évaluer sa musculation.

Par la suite, a chaque fois que nous nous croisons, nos regards sont imprégnés de haine.  Dans l'ascenseur, nous nous sommes encore insultés, prêts à se battre à nouveau.  Mais là, encore des personnes nous en ont empêché malgré eux.

Un soir, j'étais seul, il avait mis la musique à fond.  D'un pas, je me suis empressé d'aller frapper à sa porte.  Il vient m'ouvrir, il était en short et en t shirt, moi j'avais un jogging mais avec un T shirt également.

Je suis rentré, il a essayé de m'envoyer quelques coups de poings. J'ai risposté, la bagarre commenca ! Nous nous arrêtés de nous frapper, les dégats n'étaient pas bien grands.  Je l'empoigne par son tshirt laissant entrevoir son torse relativement musclé . Il fit de même avec moi. Nous étions, face à face, on s'insultait, nos bouches se sont même touchées !  En se débattant, son t shirt  s'enleva.  De rage; il déchira le mien. C'est donc torse nu que le corps à corps continua ! Nos poitrines étaient très poilues.  Il s'élança sur moi, sentant sa peau claquer contre la mienne.  C'est comme deux mâles rivaux qui se battaient !

On se claqua torse contre torse pour terminer par un bearhug complet ! Nos poils se mélangaient, l' odeur de nos corps en sueur nous exitait d'avantage.  Mon pantalon de jogging, trempé de sueur tomba dans l'empoignade, mes mollets puissant, entouraient les siens.  Nous avons roulé au sol, toujours collés l'un contre l'autre, nos bouches se frolaient.

Je l'immobilisa enfin, on se "décolla", on se fixa un moment et je suis retourné chez moi.  Nos regards en disaient long...

Qui peut imaginer un suite à cela ?


Publié le 3 juillet 2001.

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