Rentre chez moi, je me hais moi-meme de ne pas prolonger cette lutte. Mais je me dis en moi-même que, en fait cetait bien, car je lui proposerai de se mettre nu la prochaine fois quon se battra. Le jour meme, je lui ai telephoné pour fixer le rendez-vous le dimanche matin. Je lui ai dis que tous les deux profiteront de ce jour de congé pour aller dans la province, et de ne se laisser déranger par personne. Pendant les quelques jours qui restent, je me suis mis très serieusement aux exercices physiques dans la salle de gym, dabord pour entrainer mes muscles et surtout pour exhiber un corps beau et muscle.
La chambre d hotel est assez large pour deux gars comme moi et lui. Je lui ai lance le défi que la lutte se fera dans le lit. Nous rapprochons donc les deux singles pour en faire un grand double.
Avant que jai le temps de lui demander quon se batte nus, cest lui qui a émis cette idée.
Nous commençons a nous déshabiller. Il métonne vraiment car son corps est bien développe et rivalise en muscle et harmonie avec le mien. Peut-etre qu'il avait profite de ces quelques jours comme moi pour se sculpter un corps d' athlete.
Avant que jai fait un geste, il se jette sur moi et me fait tomber sur le dos sur le lit. Par réflexe, je lempoigne et lentraine dans la chute. Il tombe lourdement sur moi, son bide enfoncant le mien, sa large poitrine cognant contre la mienne avec bruit. Ses jambes puissantes, de suite se sont enlacées autour des miennes, ses grandes mains prennent les miennes, il essaie de me terrasser sur le lit. Il ramene mes deux bras en forme de croix et de sa hanche sappuie de toute sa force sur la mienne pour me planter sur le lit.
Je me débas furieusement sous son corps tout en sueur et chaud, moins pour mévader sous son etreinte puissante, mais surtout pour sentir ses muscles glisser sur les miens, sa b*t* fouetter la mienne, sa poitrine epaisse glisser sur mes seins musclés et palpitants, nos durs mamelons frotter les uns contre les autres.
Nos *r*cti*ns ne se font pas attendre et nous nous escrimons et écrasons nos épées de la même longueur, toute enflées de sang et d orgueil mâle. Nous poussons des cris plaintifs, nos bouches entrouvertes aupres lune de lautre. Je prends sa bouche soudainement entre mes lèvres, ma langue se fourre dans sa bouche chaude et nous nous aspirons nos souffles, nos salives, nos cris de plaisir. Nos chaleurs sentremelant, le plaisir des chairs, des muscles, de lodeur male nous excitent au plus au point jusquà nous deux explosent en j*s blanc ruisselant et collant entre nos deux corps muscles, qui desirent rester tout collés lun contre lautre, tandis que nous haletons bruyamment trop heureux.
Publié le 1er mai 2001 (reçu le 29/04/01).